Hommage à Marc Duca

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47 réponses à Hommage à Marc Duca

  1. Sebastien dit :

    Marc Duca est décédé à l’âge de 47 ans, ce vendredi dans l’après-midi à son bureau suite à un malaise.

    Mes premières pensées vont à sa femme et à ses enfants qui perdent un mari et un père attentionné, mais aussi à sa collègue de bureau Hélène Germani, notre Délégué Syndicale Coordinatrice en DO Sud-Est qui l’avait convaincu de rejoindre notre maison.

    C’est un militant d’une grande valeur qui disparait brutalement.
    Nous gardons de lui l’image d’un garçon éminemment gentil, enthousiaste et grand travailleur. La Commission Rémunération qu’il présidait et l’ensemble du personnel lui doit beaucoup. Reconnu de tous pour ses compétences, il était souvent sollicité et ne refusait jamais ni son aide ni son temps.

    Il était le meilleur d’entre nous pour convaincre nos collègues de porter nos couleurs aux prochaines élections. Sa volonté de parvenir à hisser notre organisation à 15% sur le périmètre de la DO pour que le personnel puisse être défendu à sa juste mesure, est exceptionnelle. Plus encore qu’au séminaire du 12 et 13 septembre, où il nous a tant fait rire, je salue son incomparable talent.

    Il devait être tête de la liste cadre au CE dans la DO Sud Est. La vie en a décidé autrement et nous a rappelé avec cruauté la fragilité des choses de ce monde.

    La défense du collectif et des autres ne doit pas nous faire oublier que chacun de nous doit aussi se ménager. Plus que jamais, il nous appartient de non seulement veiller les uns sur les autres, d’appeler à l’aide dès les premières inquiétudes mais aussi d’accroitre nos efforts pour protéger ceux qui s’engagent.

    A Hélène, Rémy, Franca, Sandrine, Suzanne, Ghislain, Jean-René, Sylvain, Jean-Louis, Michel et tous les autres, je rappelle que je reste à la disposition de chacun.

    Marc souhaitait réussir ces élections. J’ai l’intime conviction que nous ne le décevrons pas et que nous pourrons poursuivre l’immense travail accompli ensemble ces dernière années pour protéger et défendre le personnel.

    Amitiés syndicalistes
    Sébastien

    Sébastien Crozier

  2. patrice dit :

    Marc tu nous manqueras énormément car tu resteras dans nos coeurs un grand homme qui savait écouter, dialoguer, échanger, aider, soutenir, et aimer les gens.
    Tu es parti trop jeune, trop vite, trop tôt. Je t’avais proposé un poste national de DSCA que tu avais refusé pour le moment car tu m’avais expliquer que tu souhaitais avant tout gagner ces élections sur le terrain en allant convaincre les collègues.
    Merci pour tout ce que tu as fait Marc, tout le monde se rappellera de toi qui a réussi à parler en publique lors des séminaires alors que cela t’impressionnait au départ, toi qui savait répondre aux salariés sur des questions pointues.
    Toutes mes condoléances à ta famille qui peut être fier de toi, tu as été un modèle de simplicité, de courage, et de solidarité.

    Patrice Seurin

  3. noel dit :

    Salut Marc,
    Qu’est ce que je viendrais d’apprendre – qu’à quelques jours quelques semaines des élections pour lesquelles tu avais bossé comme un fou, que tu aurais décidé de prendre une tangente ?
    De partir pour la planète du Petit Prince, que tu nous aurais abandonnés (ce qui n’était pas ton genre), juste avant une victoire dans laquelle tu auras une grande part.
    Cela, sans même nous en avoir parlé, sans nous avoir dit le plus petit au revoir, sans que personne et pas même toi-même ne se soit préparé.
    Marc, sur ce coup là, et c’est bien la première fois, tu as vraiment dec…é.
    Tu sais (comme l’a parfaitement dit Sébastien), que tu étais le meilleur d’entre nous pour le recrutement de candidats – mais tu étais aussi et sans doute le meilleur d’entre nous dans plein d’autres domaines aussi (que ce soit par ta gentillesse, ton humour, ta disponibilité).
    Déjà, tu avais su me supporter et me garder comme secrétaire de ta CIT, tu ne m’avais même pas mis dehors alors que je n’en fichais pas une rame.
    Dire, tu prenais tout sur toi.
    Je sais qu’il est de tradition de ne tresser que des louanges pour ceux qui sont allés au plus près jouer aux billes avec les étoiles.
    Mais dans ton cas, dur de trouver – même en cherchant, pour faire honnête – quoique ce soit à redire.
    Tu étais un mec parfaitement impec.
    Sauf évidemment, sur ton dernier (très sale) coup, là, où tu nous auras totalement pris par surprise, tellement que même après ce coup, tout cela nous parait définitivement totalement invraisemblable.
    On sait tous que tu vas nous revenir au prochain séminaire, pour la prochaine NAO, que tout recommencera comme avant – qu’on on travaillera et puis qu’après (comme avant) qu’on ira boire un coup et puis qu’on rigolera.
    Ou alors, si ça marche pas comme ça, sache qu’à ce prochain séminaire, Marc, qu’à cette prochaine NAO, de toute façon, dans tous les cas, tu seras là, dans nos têtes à tous, dans tout ce qui se dira, dans nos rires, dans nos pleurs,…
    Tu seras là Marc
    Tu étais tellement présent que tu le demeureras toujours et partout.
    En nous tous.
    Salut, Marc.

    Noël Fayeaux

  4. Truchon José dit :

    Je suis profondément attristé par le décès de Marc, un collègue sympathique, dynamique, toujours de bonne humeur et un exemple dans travail.

    José

  5. LLORET Georges dit :

    Cela ne fait même pas 24h que j’ai pris connaissance du malheur qui frappe ta famille, tes amis, et tu me manques déjà cruellement.
    Je vais garder de toi , Marc, l’image d’un ami qui véhiculait toujours sa bonne humeur et nos rencontres ont toujours été pendant ces nombreuses années des moments de franches rigolades.
    Je déplore que notre entreprise n’ai pas su abuser de tes innombrables compétences et qualités à leurs justes valeurs, hélas, qu’est-ce qu’ils ont été cons.
    J’ai une pensée surtout pour tes enfants et ton épouse que j’embrasse au travers de ces quelques lignes affectueusement.
    Marc, je te fais de grosses bises.
    Ton ami Jordi.

  6. vogel tania dit :

    Quelle tristesse.
    Toutes mes pensées à la famille.
    Nous perdons quelqu’ un qui avait du coffre et du coeur en plus de l humour.

  7. RIVIER dit :

    Marc , tu resteras présent dans nos coeurs pour ton entrain, ta disponibilité, ta bonne humeur.
    Toutes mes condoléances les plus sincéres pour ta famille.
    Elisabeth

  8. Rémy dit :

    Et Marco t’es où ?
    Plus d’appels tôt le matin ou tard le soir, plus de mails ni de sms…..
    Avec qui je vais pouvoir rire de conneries, m’engueuler pour un rien , me titiller pour le plaisir
    Je te revois encore ouvrir d’un coup sec mon bureau , bombant le torse et dire un sourire aux lèvres : j’ai fait 2 cartes !
    Je t’entends encore pendant le trajet retour du séminaire me prendre la tête à refaire le monde syndical et savourer d’avance tes futures interventions en CE !
    Je te vois encore avec Hélène, en binôme d’enfer, parcourir le territoire de Nice à Annonay et nous raconter vos exploits !
    Je t’entends enfin parler de ton épouse et de tes enfants, ton plus grand trésor..
    Que de souvenirs, qui rendaient pour nous tous l’action syndicale « pimentée » à tes cotés
    C’est devenu très fade ici … Ca va nous manquer
    Tu vas nous manquer….énormément…

  9. VENON dit :

    Marc,
    A Mon collègue d’exception,
    Sandrine arrêtes à de me faire rire…Marc arrêtes de me faire rire… Marc on a percé les tympans d’Hélène. « Arrêtez de rire tous les deux ».
    Je t’entends encore rire et me dire »on va gagner » .
    On est les plus forts Marc et effectivement on va gagner .
    Marc , « les trous dans la raquette » : on va finir par les combler
    Marc, tu vas être fier de nous la DOSE pour toi Marc.
    J’ai toujours l’impression que tu vas me téléphoner et continuer à me faire des blagues.
    TU ME MANQUES

  10. DARTAGNAN dit :

    Merci Marc pour tes conseils et ton écoute.
    Nous donnerons le meilleur pour que ta volonté de hisser notre organisation à 15% soit concret.
    Merci, merci et toujours merci Marc.
    Toutes mes condoléances à ta famille.
    Jean Marc

  11. Le Lepvrier Florence dit :

    Marc,

    T u es un mec extra, encore merci pour tes conseils et tout ce temps que tu accordais à tout ton p’tit monde. Tu vas être notre bonne étoile maintenant.
    Toutes mes condoléances à ta famille et tes amissssss.

  12. PHET Bernard dit :

    La dernière fois que je l’ai vu, c’était au Séminaire le 12 septembre dernier, nous avons parlé ensemble et il m’est apparu souriant et décontracté.
    Aujourd’hui, je pense beaucoup à sa famille et à ses proches dans cette épreuve de la vie. Au sein de la Commission Rémunération qu’il présidait, j’avais pû apprécier sa disponibilité et sa compétence.
    Je l’appréciais beaucoup pour ses qualités humaines, sa générosité et sa disponibilité pour les autres.

    Aujourd’hui, il va laisser un grand vide parmi nous et je garderai toujours en moi le souvenir d’un collègue sympathique, chaleureux, profondément humain.
    A sa famille et à ses proches, je souhaite courage, force et solidarité.
    Bernard PHET.

  13. CLEMENT dit :

    Je me souviens d’un collègue solidaire et disponible. J’ai pour mémoire la demande d’expertise faite il y a quelques mois pour une salariée en difficulté sur ses éléments de rémunération variables. Il avait conduit son expertise en quelques heures, passé quelques coups de fils et son dossier était bouclé. Notre collègue, ravie, n’avait pas hésité à adhérer à notyre syndicat. Nous avons repris le dossier et demandé une audience qui a aboutie favorablement.
    Mes sincères condoléances vont à sa famille et a ses collègues qui vont ressentir le vide qu’il laisse.

  14. Amatu Robert dit :

    Je suis sur qu il est maintenant avec les anges.
    sans lui ce sera plus dur, mais il continuera a nous aider a sa manière.
    Nous poursuivrons son oeuvre…pour qu il soit fier de nous.
    Son esprit transite mais son coeur est en chacun de nous.
    Nous sommes fiers de toi Marc.

  15. Porcedda Hervé dit :

    Marc,

    Je suis profondément attristé par ton dernier voyage, l’impermance de la vie est comme une vague qui immerge les Hommes, et je garde en mémoire nos discussions téléphoniques.
    Prends soin de toi là bas.

    Amitiés profondes et respectueuses

  16. ARVOIS Christophe dit :

    Je t’aimais bien mon « bon homme »; j’aime le personnage que tu étais.
    Tu vas me manquer.
    Repose toi bien et veille sur les tiens que je permets t’embrasser, tes enfants, ta femme, ta famille, tes amis.

    Le choc est là soudain, irréparable..

    Merci à toi d’avoir vécu,

    Amicalement,

    Christophe

  17. Pascal Courtin dit :

    Le silence après du Mozart, c’est encore du Mozart… Le silence laissé par Marc est assourdissant et rend sa mémoire encore plus vive.
    Vive de ses rires, de ses coups de gueules, de son sourire, de son air souvent perdu dans ses pensées qui ne faisait que masquer son écoute assidue…
    Grand militant, disponible, engagé, passionné, libre de pensée et d’action.
    Un Homme doux et fort dont les enfants peuvent être fiers, tant il a été utile à tous ceux qui avaient besoin d’aide et de conseil.
    Ils sont nombreux, j’espère, ceux qui sauront avoir la reconnaissance du coeur et qui voudront t’offrir à titre posthume la victoire électorale pour laquelle tu t’es défoncé à perdre haleine.
    Mes plus sincères et douloureuses condoléances à la famille et aux proches de ce Grand Copain.
    Pascal

  18. limido-milesi dit :

    Marc, je ne te connaissais qu’indirectement par tous les commentaires élogieux que je pouvais lire à ton propos, par l’efficacité sans faille de tes travaux et la qualité du ciment que tu apportais à la construction de notre édifice syndical. C’est peu, et c’est déjà énorme! je pense à ta famille, à sa douleur face au vide que tu laisses, je pense à tes collègues dont les témoignages font comprendre à quel point tu leur manques déjà!
    bon vent camarade, repose-toi, maintenant!
    Frédérique

  19. Joêlle Lebat tokol dit :

    C’est toujours dur un tel départ, et surtout quand on ne s’y attend pas, pour une personne dynamique, volontaire et passionnée ; mais c’est extrêmement dur pour ceux qui restent, son épouse, ses enfants, sa famille, ses amis proches, ma pensée est pour eux, car ils doivent continuer sans Marc, jamais vous ne l’oublierez, la douleur s’atténuera avec le temps mais vous ne serez jamais séparé, car la mort n’est pas une séparation mais une autre étape de la vie, que chacun aura. Pensez que de l’autre côté, Marc est heureux, qu’il est toujours près de vous et que vous le reverrez. Amicalement. Joêlle

  20. Landois Ludovic dit :

    Beaucoup plus qu’un collègue, un ami.

    Oui, à mon regard tu étais un ami, il était impossible à qui te rencontrer de ne pas tomber sous le charme de l’homme aux qualités innombrables. La douce chaleur de ta disponibilité et de tes conseils quand dans ma vie j’en avais besoin me manque déjà ! Ton départ me fait super mal mon ami, et mes yeux sont rouges. La vie est une traversée où on ne regrette que ce que l’on aime…

    À ta famille, j’adresse mon soutien, toutes mes condoléances ainsi que mon amitié sincère.

    Ludo

  21. COINDE dit :

    Salut Marc,
    La première fois que je t’ai vu, à un séminaire, je me suis dis ce gars est incroyable.
    A chaque discussion qui ont suivi, j’ai senti cette passion que tu avais pour ta mission, ce respect pour les gens, toujours prêt a rendre un service. Le nombre de personnes que tu as su convaincre est certes énorme, mais le plus important, est que tu as su rester simple, abordable, humain et respectueux, tout cela avec humour.
    Chacun de nous au quotidien peut s’inspirer de ce que tu étais et de ce que tu nous as apporté. Merci à toi. Toutes mes condoléances à ta famille et tes proches

  22. Pierre VARS dit :

    De notre première rencontre à Marseille, au milieu de la dizaine de copains qui avait décidé de nous rejoindre, au dernier séminaire de septembre ou l’on avait furtivement échangé dans le hall, il me restera , comme à tous, le souvenir d’une voix , d’une présence et d’une personnalité fortes.
    Je pense que tu aurais aimé cette citation d’une des plus grandes syndicalistes mother Jones  » pensez à vos morts, pleurer vos morts mais battez vous pour les vivants ».
    Aujourd’hui nous te pleurons et nous pensons à toi , et pour être fidèle à tous ceux qui comme toi se sont battus nous continuerons.

    Mes plus sincères condoléances à ta famille à tous tes proches.

  23. Hélène M dit :

    Je ne peux juste pas croire que tu sois parti. Pas toi ! Pas maintenant ! Pas à deux doigts de toucher le poteau de la victoire dans une course que tu as menée en tête de peloton, avec une énergie, une conviction, une implication qui forçait le respect et obligeait à se botter les fesses pour te suivre.
    Avec qui vais-je écrire les tracts sur la rému maintenant ? Avec qui vais-je refaire le monde devant la porte de l’hôtel pendant les pauses des séminaires syndicaux ?
    Je t’avais pourtant dit de faire attention à toi, de te ménager un peu plus… mais tu n’écoutais rien, que l’urgence de faire le maximum pour nos collègues.
    Quand je sens combien, en tant que camarade syndicaliste, tu me manques, je pense à ton épouse et à tes enfants, et mon cœur pleure avec eux.
    Ton trou dans l’eau ne se refermera jamais, tu fais partie des gens qu’on n’oublie pas.
    J’espère au moins que, là où tu es, tu prends enfin un repos bien mérité.

  24. Fatima dit :

    Tu es et restera une inspiration pour moi qui débute dans le syndicalisme.
    Mes sincères condoléances à ta famille et a tes collègues qui vont ressentir le vide que tu laisses.

    Fatima

  25. NET dit :

    En apprenant le décès de Marc, j’ai été très bouleversée par cet événement cruel. Je n’aurai jamais pu imaginer qu’un tel malheur puisse lui arrivé si tôt surtout que je l’ai rencontré lors du dernier séminaire et que nous avions échangé quelques banalités….
    Marc était une personne agréable, gentille, plein d’humour, compétente, appréciée de tous ces collègues et toujours disponible à rendre service. C’était quelqu’un de bien!
    Je garderai dans mon cœur un bon souvenir de lui.
    Dans cette difficile épreuve, je tiens à présenter à sa famille mes sincères condoléances et que je prends part à leur douleur .
    Qu’il repose en paix !
    Sylvie

  26. Ghislain dit :

    Marc, mes premières pensées vont à ta famille dont je sais combien elle t’importait avant tout.
    Je sais ce que tu as fait pour moi comme pour beaucoup d’autres et ne pourrai plus te dire simplement merci. Ne t’inquiète pas pour ton fameux « sac à tracts » qui me faisait rire, je continuerai de le porter, ne te demande plus « alors, comment j’ai été? » , car tu as été un exemple d’humanité.
    Tu me manques
    Ghislain

  27. Pierre Morville dit :

    Mes pensées vont d’abord à ses proches.
    Mais je ne sais que leur dire. Parce que les mots sont dérisoires.
    De notre première rencontre, un trajet en voiture entre Marseille et Aix, je garde un souvenir qui ne s’est jamais démenti : un accent latin, une chaleur, un enthousiasme, une conviction syndicale formidable.
    Je te salue, camarade
    Pierre

  28. Jean-René Spinosa dit :

    De Marc je garderai le souvenir d’un super collègue et ami, toujours prêt à rendre service. Un grand bonhomme par la taille mais surtout par son cœur immense et très sensible à la détresse humaine. Il adorait son travail mais par-dessus tout sa petite famille dont il était si fier.

    Marc était un homme de terrain. Il était rentré à fond dans la bataille des élections et il m’appelait tous les jours pour me donner des nouvelles du front. J’entends encore son rire si communicatif et ses dernières paroles pour me dire « Jean-René j’ai encore fait une candidature, est-ce que tu es content ? » Oui ! Marc aimait faire plaisir aux autres. Il voulait changer le paysage syndical et nous devons tous en sa mémoire remporter avec brio ces élections

    Marc, tu vas beaucoup nous manquer. De là-haut envoie-nous de temps en temps un petit tract et veille bien sur ta femme ainsi que tes deux enfants que tu chérissais tant.

  29. Jean-René Spinosa dit :

    De Marc je garderai le souvenir d’un super collègue et ami, toujours prêt à rendre service. Un grand bonhomme par la taille mais surtout par son cœur immense et très sensible à la détresse humaine. Il adorait son travail mais par-dessus tout sa petite famille dont il était si fier.

    Marc était un homme de terrain. Il était rentré à fond dans la bataille des élections et il m’appelait tous les jours pour me donner des nouvelles du front. J’entends encore son rire si communicatif et ses dernières paroles pour me dire « Jean-René j’ai encore fait une candidature, est-ce que tu es content ? » Oui ! Marc aimait faire plaisir aux autres. Il voulait changer le paysage syndical et nous devons tous en sa mémoire remporter avec brio ces élections

    Marc tu vas beaucoup nous manquer. De là-haut envoie-nous de temps en temps un petit tract et veille bien sur ta femme ainsi que tes deux enfants que tu chérissais tant.

  30. stamegna dit :

    je n’arrive toujours pas à croire que tu ne sois plus là…
    je garderai en souvenir l’image d’un chef de plateau inoubliable qui a fait redecoller tout un service et aussi ma carriere professionnelle.
    un gand militant militant syndical qui etait imbattable dans sa collection d’adhesions syndicales.
    Je garde aussi cet image du bon pere de famille qui adorait sa femme et ses enfants.
    Notre derniere discussion de vendredi apres midi restera toujours dans ma memoire et on fera tout pour gagner ses elections car on te le doit bien.
    c’est toujours les meilleurs qui partent en premier…
    Avec Christophe S. tu nous appellais tes ptits con, on s’en souviendra toujours…
    merci pour tout ce que tu m’as appris.
    Olivier

  31. Philippe TAKACS dit :

    Marc, de là haut, tu as vu la surprise que tu as faite à nous tous et la peine énorme que nous ressentons. Je pense à ta famille qui la subit de fait et je leur présente mes sincères condoléances en espèrant que ce petit mot leur montrera comme il était apprécié. Marc, tu n’auras pas eu le temps de me former au RMN.

  32. KAREZ dit :

    Pas eu le temps de trop le connaître.Ce matin là à Paris , j’ ai vu que c’ était un homme engagé.Mes pensées vont à sa famille , ses enfants dont il m’ a parlé.Sincéres condoléances.

  33. Borot Danielle dit :

    Quelle tristesse.
    Toutes mes pensées à la famille.
    Qu’il repose en paix !

  34. Bernard Huret dit :

    Marc, ton visage ne m’est pas étranger alors que je t’ai rencontré qu’une fois, lors d’un séminaire à Paris… « On se souvient rapidement de ceux qui ne vous sont pas indifférents ». Je m’associe à la peine de tes collègues. je pense aussi à ta famille qui vient de perdre l’un des leur encore si jeune… !
    Cordialement à toutes et à tous

  35. CHAPON Alain dit :

    Beaucoup de tristesse, et une énorme pensée pour ta famille.
    Adieu Marc qui fut mon « tuteur » et mon guide dans le groupe, il y a bien longtemps.
    Sincères condoléances à tous tes chers
    Alain

  36. FLAD dit :

    Le peu que je t’ai connu Marc, m’a fait apprécié ta gentillesse, ton dévouement au syndicat, ton professionnalisme et le désir de toujours rendre service : c’est avec une grande tristesse que je pense à toi et à toute ta famille dans des moments ausi douloureux
    très cordialement
    Pierre Jean

  37. EMILIANI MONIQUE dit :

    C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai appris le décés de Marc, lundi matin par Suzanne
    Je l’avais appelé jeudi soir et on devait faire le tour des boutiques dans les jours à venir, je lui ai transmis des mails samedi, ignorant la terrible nouvelle
    Je me souviendrai longtemps de notre  » au revoir  » sur le quai de la gare St Charles à notre retour de Paris mardi 13 , il allait prendre le train pour La Ciotat et rejoindre sa famille dont il nous parlait souvent, la photo de sa fille dans le portefeuille, c’est à sa famille que je pense aujourd’hui.
    Marc va laisser un grand vide et sa jovialité va beaucoup manquer
    Je suis sure que d’en haut il va nous surveiller pour voir si on fait des cartes T!
    Pensées pour Hélène qui perd son collègue et binome , courage aprés cette terrible épreuve
    Monique (emilianne comme il disait en riant, un jeu de mots partagé)

  38. Patricia Hessloehl dit :

    Marc tu es parti si jeune et si brutalement en laissant un grand vide autour de toi.
    Tu vas nous manquer.
    Tu étais toujours à l’écoute, prêt à rendre service, efficace et compétent.
    Tu étais un battant, motivé et passionné par tout ce que tu entreprenais.
    Mes pensées vont vers ta famille et tes proches notamment ta femme et tes enfants dont tu parlais souvent et que tu chérissais tant.

  39. Marie-JO dit :

    Ciaooo Marc….

    On s’est connus au syndicat, je garde et garderai un très bon souvenir de ta gentillesse, de ton professionnalisme, de ta réserve et surtout de la fois où tu m’as accordé 15 minutes pour m’expliquer un point précis sur la rému.
    Je te dédis un poême que j’aime beaucoup :

    « Ne pleure pas si tu m’aimes

    La mort n’est rien.
    Je suis seulement passé de l’autre côté.
    Je suis moi.
    Tu es toi.
    Ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours.
    Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné.
    Parle-moi comme tu l’as toujours fait.
    N’emploie pas de ton différent.
    Ne prends pas un air solennel, triste.
    Continue de rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
    Prie. Souris. Pense à moi, prie avec moi.
    Que mon nom soit prononcé à la maison
    Comme il l’a toujours été, sans emphase
    D’aucune sorte, sans une trace d’ombre.
    La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié.
    Elle est ce qu’elle a toujours été : le fil n’est pas coupé.
    Pourquoi serais-je hors de ta pensée
    Simplement parce que je suis hors de ta vue ?
    Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin…
    Tu vois, tout est bien…
    Tu retrouveras mon coeur, tu en retrouveras
    les tendresses épurées.
    Essuie tes larmes.
    Et ne pleure pas, Si tu m’aimes ».

    Saint Germain.

    CiaOOO Marc….

    Puisse ce poême aider toutes les personnes qui pleurent Marc.

  40. Christophe Biagi dit :

    Je me décide enfin à t’écrire un mot Marc , j’ai du mal encore à comprendre que tu sois parti si vite… peu de temps encore nous parlions au téléphone des tracas de chacun, des actions à mener pour les collègues en difficulté et combien ton action et tes conseils étaient précieux, pour tous.
    Je pense à ta famille, à tes amis qui doivent être trés nombreux.
    Amicalement

  41. FLAD dit :

    J’ai connu Marc pendant plus d’un an durant mon passage éclair au syndicat mais il m’a laissé un souvenir inoubliable ; il était la gentillessze même, toujours prêt à rendre service et à mettre ses compétences au service de ses collaborateurs et de tous ceux qui souhaitaient profiter de son expérience et de sa disponibilté. Je suis très attristé par cette nouvelle bouleversante et ai encore beaucoup de mal à y croire. Que la vie est parfois terrible et injuste Merci encore Marc pour tout ce que tu as fait pour nous tous, tu resteras pour toujours dans nos coeurs Toutes mes condoléances les plus sincères à sa famille
    amicalement
    PierreJean

  42. Samira Granville dit :

    Marc,

    C’est avec beaucoup de tristesse que j’écris ces quelques mots pour dire combien ta disparition ma touché.
    Ce que je retiendrais de toi c’est l’image d’une personne gentille, disponible, agréable, et surtout efficace.

    Je présente toutes mes condoléances à ta famille.

    Samira Granville

  43. jean Marc Nardini dit :

    84.99.219.247
    Envoyé le 01/10/2011 à 9 h 03 min

    Mince alors, les souvenirs affluent à la lecture de la Provence, en page avis de décès…
    Est-ce le même ?
    Marc, notre copain de Terminale au Lycée Perier Marseille, et puis nos années de faculté sur Aix ? Le BAC, les parties de rigolade dans nos covoiturages, avec nos voitures pourries d’étudiants…!
    Il y a…30 ans déjà
    et puis je recherche avec angoisse cette information, ce site, ces photos qui me confirment le départ de cette belle personne que nous n’avons jamais oublié, Sophie, Brigitte et moi.
    Quel dommage que la vie nous ait séparé, une première fois, et puis là…
    Nous pensons à toi, à ta famille
    jmarc, sophie, brigitte

  44. Ariel Delouya dit :

    Salut à toi mon ami

    Ton départ si soudain nous a bouleversé.
    Je ne t’ai connu que (trop) brievement à l’occasion du dernier séminaire . Je retiens ton enthousiasme , ta bonne humeur , ta générosité et les fous rire que nous avons partagés si précieux à cette heure m’ont instantanément fait ressentir la fraternité d’un ami . Merci à toi l’ami.
    Je pense évidemment à tes proches et à ta famille qui peut être fiere de toi comme nous le sommes .

  45. Marie Laure GIORGI dit :

    Mon très cher « Struchettu »,
    Ton départ trop rapide m’a cruellement affecté !
    Je garde de toi ton éternelle jeunesse, ton incroyable dynamisme, ta grande générosité de coeur et d’âme, ton optimisme et ta détermination inébranlable, qui restera une source d’inspiration pour nous tous,
    Au revoir mon Très cher Marc,
    mes respects à ta famille,
    Marie Laure

  46. Denise ARSIVAUD-CHOUQUAIS dit :

    A toi le plus beau de tous ! Et tu riais de bon coeur (c’était notre message à nous)
    Oui vraiment tu es très beau, dedans, dehors….
    Un MEC SUPER avec qui j’aimais travailler.
    Les dossiers qui n’avaient pas le temps de s’accumuler, nous les traitions le plus rapidement possible pour ne pas nous enliser…
    Les horaires c’est quoi ça ! Y’en avait pas… les WE pas mieux…
    Accompagné d’Hélène sur la route, sur un site, toujours le tel à l’oreille et HOP ! Encore une adhésion et tu riais…
    Je te disais de te calmer mais BOFF ! Un coup de barre et ça repart…
    Pourtant la disparition de ta maman, il y a un an, fut si dure… tu t’es encore plus impliqué..
    Mais BON DIEU quelle blague tu viens de nous faire … tu aimais en faire mais celle-ci t’étais pas obligé. Si nous pouvions ôter cette vilaine date du calendrier….
    J’ai du mal à imaginer… à m’imaginer que ….
    Désormais, de là ou tu es, je sais que tu continueras de protéger les tiens, à qui je pense fortement, et bien sûr il est impossible de ne pas associer Hélène, à vous deux vous formiez une réelle équipe de choc !
    Derrière tes larges épaules tu restais si simple, si fragile parfois, si vrai, si bon….
    VRAIMENT tu es et resteras un MEC TRÈS BEAU et que je n’oublierai jamais.
    Je t’embrasse
    Denise

  47. annabel CAMPUS dit :

    Je viens d’apprendre cette triste nouvelle.
    Je ne te connaissais pas personnellement mais je t’ai souvent croisée lors des séminaires.
    Toutes mes condoléances a la famille et amis proches
    Repose en paix Marc

    Annabel

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